Miracles

Antoine disputait un jour sur la présence de Jésus dans l’Eucharistie avec un hérétique.

Dans la ville de Ferrare, une famille est troublée à cause d’un soupçon qui pèse sur la mère d’un nouveau-né : le père refuse de prendre dans ses bras son bébé né quelques jours auparavant,

Thomas est un enfant de 20 mois. Sa mère s’en va le laissant jouer, tout seul, à la maison. À son retour, elle le retrouve mort, noyé dans un baquet rempli d’eau.

Un jeune homme de Padoue, nommé Leonardo, avait avoué en confession d’avoir donné un violent coup de pied à sa propre mère. Antoine l’avait admonesté sévèrement en lui disant :

Dans une ville, en Toscane, toute la famille est réunie pour les funérailles solennelles d’un homme très riche.

Antoine s’est montré en toute occasion et en tous lieux un défenseur des pauvres. Il ne craignait pas d’affronter directement tous ceux qui les opprimaient.

Comme dans la vie de saint François il y a le sermon aux oiseaux, dans la vie de saint Antoine il y a le récit miraculeux du sermon aux poissons.

Peu de temps avant sa mort, frère Antoine avait obtenu de se retirer à Camposampiero dans le “lieu” que le comte Tiso, avait donné aux frères franciscains, tout près de son château.