Au simple mot de vocation, on pense spontanément aux vocations sacerdotales ou à celles pour la vie consacrée, avec une crainte teintée d’amertume : pourquoi il y-a-t-il si peu de vocations chez nous ? C'est à ces questions qu'est consacré le numéro d'octobre du Messager, que vous pourrez découvrir en cliquant ici.